Revenir aux sources de l’investissement en bourse + Explication de la vente à Découvert

Dans l’article du jour, on va détailler comment gagner de l’argent avec la bourse.

L’idée étant de pouvoir partir des bases, et d’apprendre chemin faisant, comment investir / Gagner avec en bourse.

L’une des phrases que j’ai bien aimé récemment, lors de la lecture du livre « The Little Book of Common Sense Investing« , c’est que la bourse c’est quelque chose de simple…

Mais ce n’est pas facile.

De ce fait, pour avancer sur la compréhension de la bourse, on peut réduire grossièrement la bourse à deux états, ou deux tendances.

Ca monte ou ça descend.

Autrement dit, on gagne ou on perd, selon qu’on soit aligné avec la tendance.

Maintenant pour aller plus loin, et expliquer un concept que je viens de comprendre c’est celui de vente à découvert.

Dans le cas ou l’on achète à un prix X pour le revendre à un prix X+50, et que la tendance est haussière, RAS, on est ok ici.

On a fait ce qu’il fallait pour acheter à un prix plus bas, auquel on a revendu par la suite.

Dans le cas inverse, ou le prix de vente est plus bas que le prix d’achat, lors d’une tendance haussière, on est pas bon.

On perd la différence.

Maintenant que se passe-t-il lors d’une tendance baissière ?

Autrement dit quand les hauts, deviennent de plus en plus bas.

On peut ici opter et utiliser la vente à découvert.

C’est un processus inverse qui dit que l’on vend d’abord (à un prix élevé), avant de le racheter à un prix inférieur.

Pour moi, le concept n’était pas très clair jusqu’à récemment.

Et je pense l’avoir compris à travers un exemple.

Cet exemple :

Imaginons que vous alliez voir un courtier, pour lui emprunter une voiture.

Vous en profitez pour la vendre immédiatement.

Quelques temps plus tard, vous retourner voir l’acheteur pour lui racheter la voiture à un prix moins cher.

De là, vous rendez finalement la voiture au courtier.

C’est exactement ce qu’il se passe lorsque vous faites une vente à découvert.

Vous emprunter une action à votre courtier pour la revendre.

Puis racheter cette action avec un prix, idéalement inférieur, quelques temps plus tard.

Puis vous la remettez à votre courtier.

La notion d’emprunt au courtier est pour moi encore obscure.

Mais si l’on comprend la notion de vente et d’achat dans la vente à découvert, on aura compris l’essentiel.

Quel est l’importance de l’habitude ? 

Article largement inspiré et retranscris du livre KAIZEN, dont vous pouvez en voir un condensé de l’introduction ici.

Tout en déclarant que ces comportements sont essentiels à notre fonctionnement quotidien, le professeur Gardner, maître de conférences en psychologie au King’s College de Londres, précise :

Nous développons des schémas comportementaux répétitifs car c’est la façon qu’a notre cerveau de verrouiller les réponses utiles. L’être humain est un «économe cognitif», autrement dit nous aimons (et avons besoin d’) économiser nos ressources mentales afin de les consacrer aux tâches exigeantes.

Ben Gardner, maître de conférences en psychologie au King’s College de Londres

Il prend l’exemple de la préparation d’une tasse de thé.

« Si on développe l’habitude de prendre la tasse dans le placard puis d’y déposer un sachet, alors c’est une chose en moins à laquelle réfléchir.

Ainsi, notre processus de préparation de la tasse de thé ne requiert plus que l’on considère l’enchaînement de chaque étape (j’ai pris la tasse dans le placard — et ensuite ?), mais peut s’effectuer en pilotage automatique et nous libérer l’espace mental pour que nous pensions à autre chose (souci professionnel à résoudre tout en se préparant un thé, par exemple). »

Ben Gardner, maître de conférences en psychologie au King’s College de Londres

Il est important de préciser que les habitudes ne sont pas mauvaises en soi, car elles sont essentielles à notre fonctionnement quotidien.

Si nous devions prêter attention à la moindre petite tâche que nous exécutons — monter quelques marches ou boire une gorgée d’eau — nous serions exténués en permanence.

Malheureusement, cela signifie aussi qu’en cas de fatigue ou de baisse de moral, nous avons vite tendance à nous tourner vers nos mauvaises habitudes en quête de confort et de sécurité.

Par exemple, quand je passe une journée pourrie au travail, j’ai une envie furieuse d’aller faire les boutiques ou de manger n’importe quoi.

S’échapper de la zone de sécurité de nos comportements habituels est assez difficile :

résultat, nous passons une bonne partie de notre vie en pilotage automatique ou à faire des choses que nous savons mauvaises pour nous.  

« KAIZEN » de Sarah Harvey

La méthode japonaise du petit pas pour changer toutes ses habitudes 

Introduction

Chapitre 1 : Se lancer 

Chapitre 2 : La santé 

Chapitre 3 : Le travail 

Chapitre 4 : L’argent 

Chapitre 5 : Le domicile 

Chapitre 6 : Les relations 

Chapitre 7 : Nouvelles habitudes et nouveaux projets 

Le Kaizen et les obstacles 

Pourquoi l’échec est bénéfique ?

Dans les lignes qui suivent, on va essayer de répondre à la question

Pourquoi l’échec est bénéfique !

Mais avant, cet article est directement inspiré de la lecture du livre « La stratégie de la boite noire ».

Je suis en train de le documenter au fur et à mesure.

Vous retrouverez plus d’infos ici : Résumé de « La stratégie de la boite noire ».

Mais revenons au sujet du jour.

  • En quoi est-ce bénéfique ?
  • En quoi il est nécessaire d’échouer ?
  • Pourquoi ca peut être un moyen d’apprentissage énorme ?

A savoir que dans l’actualité, l’échec est mal vu.

Surtout en France, ou nous n’avons pas le droit d’échouer.

Ca me rappelle l’exemple, ou plutôt

la différence entre 2 professeurs

Un français,

Un autre Américain.

Lorsqu’on professeur français demande à son élève combien font 2+2.

Si le gamin répond 3 ou tout autre chose, le seule feedback du prof français sera de lui dire

FAUX !

Tu es nul !

A l’inverse, lorsqu’un élève américain répond la même chose, le prof américain répondra :

PRESQUE !

C’est une tout autre approche qui encourage le gamin.

ET donc est exactement ici dans ce même « délire »

A savoir que si l’on fait un arrêt sur image dans cet exemple là, on voit bien ce qui se joue derrière.

Soit on voit un faux pas, comme un échec absolue, et on raisonne alors comme tel.

Ou alors, on se dit que l’échec fait partie du processus, et que ca nous permettra de faire mieux la prochaine fois !

Cet état d’esprit franco-français est vraiment à bannir.

Ce raisonnement tel que appris et enseigné par DESCARTES n’est pas le plus optimale pour nos vies.

Et si l’on n’y fait pas attention, on se retrouve bloqué et avec une perception négative de la vie.

C’est triste.

C’est dommage.

Mais c’est ainsi.

Maintenant que l’on a vu, dans les racines, en quoi cela peut être néfaste, essayons de voir

Comment procéder pour tirer parti de l’échec ?

De mon côté, je suis partisan des itérations.

Je m’explique :

Itérer et pour moi une bonne façon de faire pour se lancer, améliorer nos actions et de cycle en cycle pouvoir atteindre petit à petit les objectifs que l’on s’est fixé.

Je précise que j’entends par cycle :

Un mouvement, un lien entre l’action et son résultat.

Les deux sont liés.

L’un ne va pas sans l’autre !

Je fais d’ailleurs un petit aparté.

Mais c’est également lié à la notion d’inertie.

Si tu ne fais rien…

Bah rien ne changera

Si tu fais des choses, tu auras un retour derrière.

En revanche, et c’est l’étape ultime, si tu fais des petits changements, tu auras des résultats légèrement différent.

Ce qui te fera prendre la « tangente » versus la voie qui t’était destinée.

C’est marrant, car en parlant de petits changements, cela me fait aussi penser aux KAIZEN, que j’évoquerai rapidement.

Ayant acheté un livré à ce sujet, ca deviendra bientôt un thème de ce site.

Je reviens à l’histoire du mouvement et inertie.

L’action et les résultat son liés.

Il faut donc arrêter de voir le monde de manière binaire (Oui j’ai bien fait / non j’ai mal fait !).

Et tirer parti de tout ce que vous pouvez apprendre.

Si vous pouvez switcher sur cet état d’esprit, vous aurez tout compris.

Et même les échecs seront finalement des victoires….

« La stratégie de la boîte noire » de Matthew Syed – Résumé 

Le secret de la réussite se cache dans nos échecs

Beau livre, suffit de voir sa couverture, que l’on traitera, ou plutôt détaillera dans les prochaines lignes. 

Plus précisément, « as usual », on en fera ici un sommaire du livre. 

Un sommaire cliquable vous permettra de creuser certains sujets. 

Sans perdre de temps, regardons de suite, ce qu’il en est. 

Ce livre se décompose en 14 chapitres regroupés en 6 parties. 

Chaque parties ayant plus ou moins 2 à 3 chapitres. 

Dans le détail :  

Partie 1 : La logique de l’échec 

Partie 2 : La dissonance cognitive 

  • Chapitre 4 : Condamnation à tort 
  • Chapitre 5 : Contorsions intellectuelles 
  • Chapitre 6 : La réforme de la justice pénale 

Partie 3 : La confrontation avec la complexité 

  • Chapitre 7 : Le paradoxe de la buse 
  • Chapitre 8 : Mort de peur ? 

Partie 4 : Petits pas de géant 

  • Chapitre 9 : Gains marginaux 
  • Chapitre 10 : L’échec motive l’innovation 

Partie 5 : Le rejet de la faute 

  • Chapitre 11 : Le vol Libyan Arab Airlines 114 
  • Chapitre 12 : La deuxième victime 

Partie 6 : Création d’une culture du progrès 

  • Chapitre 13 : L’effet Beckham 
  • Chapitre 14 : Redéfinissons l’échec 

« Le livre de l’IKIGAI » de Bettina LEMKE – Résumé

Le secret du bonheur

Le Livre de l’IKIGAI

Avec la prochaine lecture de « Le livre de l’IKIGAI » de Bettina LEMKE, je vais m’atteler à partager ici mes notes.

Notes qui seront ajoutées au fur et à mesure de l’avancement de sa lecture.

Comme d’habitude, vous trouverez :

  • le chapitrage, puis en cliquant sur les liens, vous trouverez
  • Le détail de mes notes sur ce chapitre en question.

J’ai une idée bien précise sur la façon dont je veux aborder les différentes pages concernant ce livre.

A savoir, qu’en surfant sur l’un des chapitres, vous pourrez aller encore plus loin, en cliquant sur de nouveaux articles.

Ce que je veux dire, c’est qu’en cliquant sur les chapitres, vous atterrirez sur un « sommaire » de réflexions que j’aurai noté, au fur et à mesure de la lecture du livre de l’Ikigai.

Bon, ceci étant dit, regardons de suite le chapitrage de ce livre

Sommaire du « Le livre de l’IKIGAI » de Bettina LEMKE

  • Une expérience clé

Première partie : L’IKIGAI, un moteur de vie

  • La question du sens
  • Juste une vision de l’esprit ?
  • Le bonheur de trouver du sens à ce que l’on fait
  • Le trésor intérieur
    • Démasquer les projections
    • Les transformations au fil de la vie
  • L’île des centenaires
  • Yuimaru ou la force de la communauté
  • « C’est Divin » – Exemples d’IKIGAI personnel
  • Qu’en dit la science ?
  • Règles d’or pour une vie riche de sens

Seconde partie : découvrez votre propre IKIGAI

  • A la recherche du trésor
  • Préparez votre voyage
  • Vos premiers pas
  • La gratitude, source d’un bonheur durable
  • Trois belles choses (1)
  • Pour avancer dans la bonne direction
  • L’intelligence du cœur
    • La passerelle de lumière
    • Écoutez votre voix intérieure
  • Qu’est ce qui éveille votre curiosité ?
  • Ne vous laissez pas piéger par le stress
  • Sur les traces de vos rêves
  • Objectifs et motivation intrinsèques
  • Imaginez que
  • Trois belles choses (2)
  • Trouvez votre passion – un mythe ?
  • Sentir le feu de la vie en vous
  • Socrate vous salue !
  • Identifiez vos forces et vos valeurs
  • La liste de mes qualités et de mes forces
  • L’art de vous projeter dans le futur
    • Le Nexting
    • Votre film intérieur
  • Vos meilleures décisions
  • Le baromètre du bonheur
  • Les cercles magiques
    • L’IKIGAI : à l’intérieur des quatre cercles
  • Et maintenant ? Surmonter les obstacles de la vie
  • Petit résumé de la pratique de l’IKIGAI

Comment l’équipe cycliste TEAM SKY a évolué pour passer d’une équipe moribonde à CHAMPION

Avant d’être retiré, cet article était initialement publié sur la plateforme de blogging Medium.com

Dans les lignes qui suivent, on va parler de l’évolution de la fameuse équipe cycliste Team Sky.
Leur cas a cela d’intéressant qu’il est l’un des exemples connu et reconnu d’application réussi de la méthode de Kaizen.


Kaizen ?


Kesako??!!

Pour celles et ceux qui ne savent pas ce dont je parle?

On y vient aussi.

Pour aborder tout cela, je vous propose de nous structurer un peu.

Comment ?

Je vous propose de définir ce qu’est le kaizen dans un premier temps.

Le définir mais seulement.

On fera aussi un bref déroulé historique.

J’aime beaucoup l’idée qu’il y a eu derrière cette évolution.

La façon dont on eut les Japonais pour améliorer cette méthodologie, et nous la renvoyer.

On en parle après.

Enfin dans un dernier temps, d’évoquer notre équipe cycliste.

Si ça vous va, c’est parti.

… Ou pas tout a fait encore.

Si vous ne me connaissez pas, j’essaie de rejoindre le programme partenaire de medium.

Pour ce faire, et uniquement si cet article vous intéresse, je précise bien le uniquement, vous pouvez me suivre.

Ce faisant, vous serez notifié lorsque je publierai des articles et le cercle vertueux se mettra en place.

Pour vous et moi !

Ceci étant dit, commençons par (re-) définir le kaizen.

Qu’est ce que le Kaizen ?

Traduit grossièrement du japonais, le kaizen veut dire “Changement positif” ou encore “Amélioration continue”.

Autrement dit, cette méthodologie désigne tout simplement

l’amélioration légère ou importante, ponctuelle ou continue.

Bon.

Si l’on s’arrête ici, on perçoit ce que ça veut dire.

Essayons toutefois d’aller plus loin et de le dégrossir un peu.

Cette méthodologie, qui est aussi vu comme une philosophie bouddhiste, est un outil de développement personnel qui encourage, favorise le travail méticuleux et patient de chaque geste.

Tout ceci dans un seul but :

L’amélioration de l’exécution générale.

On se concentre sur les petits détails qui font la différence.

Autrement dit, c’est le versant d’une autre face qu’on connait également en développement personnel : la loi de Pareto, aussi connue sous le nom de 20/80.

On cherche, et cette phase préparatoire est importante, à identifier les leviers qui ont un énorme impact sur le résultat final.

Puis une fois qu’on l’a trouvé, on l’améliore simplement.

De manière anodine.

De manière imperceptible.

Il faut que ce soit le plus transparent pour vous.

L’effort ne doit pas en être un.

La magie du Kaizen se mettra alors en place à ce moment-là.

Dis ainsi, cela peut sembler simple.

Voir simpliste.

Pour autant, simpliste, ne veut pas dire que c’est dénué de sens.

Ou que cela est bidon.

Non !

Et on le verra assez rapidement dans les lignes suivantes.

Par l’intermédiaire de l’équipe Team Sky

Mais avant d’en parler, je trouve intéressant d’évoquer l’évolution de cette méthodologie.

Un aller / retour fort intéressant.

Cela nous amène donc aux

Origines du Kaizen

Contrairement à ce que l’on pense, le Kaizen n’est pas originaire du Japon.

Non !

Le Kaizen a été imaginé et créé aux Etats unis.

Durant la seconde guerre mondiale.

Il faut se rappeler qu’alors, le pays devait faire avec, le gros des hommes parti aux combats.

Ce qui veut dire, une main-d’œuvre qualifié et disponible largement restreinte.

Ceci, tout en devant innover pour assurer et assumer l’effort de guerre.

Comment faire ?

Comment faire pour stimuler l’économie ?

Ce qui a été imaginé par le gouvernement américain, c’est d’instaurer un programme intitulé le “Training Within Industries” ou TWI.

L’objectif ?

Concentrer l’attention des forces de travail sur leurs pratiques professionnelles.

Pour qu’elles proposent d’elles-mêmes, des méthodes d’amélioration.

Qu’elles prennent cette initiative, sans attendre de proposition venue du top management.

Comment vous dire que cela a été un succès.

Ce programme a permis aux entreprises de soutenir le front en leurs fournissant des équipements fiables.

Tout en maintenant l’économie du pays à flot.

Si jusqu’ici tout va bien, les entreprises américaines ont cessé de suivre ce programme, lorsque la paix fut de retour.

De son côté, le Japon était lui en ruine.

D’un point de vue humain.

D’un point de vue société.

Pour l’aider à s’en sortir, son bourreau, les américains ont alors décidé d’envoyer une équipe pour aider le pays à se reconstruire à l’aide de cette méthodologie.

Bien évidemment, cela n’était pas dénué de volonté politique.

Vue le contexte local.

Entre autre, avec la situation entre les deux Corées.

Ceci étant dit, les Japonais ont immédiatement été séduit pour cette technique.

Au point que l’on estime que le Kaizen est en grande partie responsable de la forte croissance de l’économie japonaise au cours de la seconde moitié du XXe siècle.

L’exemple le plus fameux étant TOYOTA.

L’ironie du sort

Le hasard fera que les américains finiront par s’inquiéter de la compétitivité des entreprises japonaises dans les années 80.


Ils réimporteront alors la stratégie qu’ils avaient eux-mêmes mis en place …

KAIZEN, ou la stratégie gagnante de la TEAM SKY

La TEAM SKY est connue pour ses nombreux succès.

Citons entre autres :

  • 7 des 10 médailles d’or aux JO de Bejing de 2008, ou encore un
  • • Exploit comparable aux JO de Londres de 2012

Ce qui est intéressant, c’est qu’au début des années 2000, cette équipe cycliste étant moribonde.

Voir inexistante.

Il faudra attendre l’arrivé d’un nouveau manager, Sir Dave Brailsford, en 2002, pour qu’un nouveau cycle s’enclenche.

Comme vous vous en douterez bien, Brailsford s’est appuyé sur le KAIZEN pour apporter de légères améliorations.

Parmi les plus minuscules, concernant en vrac :

  • L’aérodynamique,
  • l’alimentation des coureurs
  • L’entretien des vélos

Ce qui est le plus important, et ce qu’il faut retenir, c’est que L’instruction de ce manager a été de demander l’amélioration d’un petit pourcent.

1%

Il a été demandé de viser plutôt la perfection dans les minuscules gestes, plutôt que de viser la perfection générale.

Ca peut ne sembler rien pour vous, mais pour lui ca faisait tout.

Et la fin de l’histoire est connue et lui donnera raison avec :

  • 7 des 10 médailles d’or aux JO de Bejing de 2008, ou encore un
  • Exploit comparable aux JO de Londres de 2012

Et vous ?


A quant la perfection dans chacun des minuscules gestes qui ponctuent votre vie ?

L’importance du capital professionnel dans votre réussite individuelle

Analysons les facteurs qui contribuent à l’accumulation de ce que l’on appelle le « capital professionnel » et de son influence sur les opportunités professionnelles.

Pour cela, je vous propose :

  1. dans un premier temps de définir ce que l’on entend par « le capital professionnel »
    • On associera également à cela une célèbre loi économique
  2. On réfléchira ensuite, dans un second temps, aux facteurs qui peuvent contribuer à l’accumulation du capital professionnel et surtout l’influence qu’ils peuvent avoir sur les, sur nos résultats professionnels.

Qu’est ce que le “capital professionnel » ?

Le capital professionnel concerne toutes les compétences spécifiques qui peuvent vous aider à réussir dans un job donné.

Pour être précis et aller plus loin, je ne parle pas seulement du référentiel de compétences attendu pour « faire le job », mais vraiment tous ces éléments, caractéristiques, compétences et aptitudes qui font la différence.

Ce sont ces petites choses que la plupart n’adoptent pas et qui feront qu’à compétences “standards”, leurs jobs sera aussi “banales”.

Or l’idée est précisément là.

Ces petites choses différenciantes sont par définition rares et précieuses.

Rare car peu de gens font l’effort pour les acquérir.

Précieuse pour celui qui les a, mais aussi pour l’entreprise, ou client, qui en bénéficie.

C’est là, ce qu’on appelle le « Capital professionnel » !

Maintenant que l’on a l’idée, intégrons une autre idée connue dans notre cheminement, appelée :

La loi de l’offre et de la demande.

En vertu de l’offre et de la demande, on sait que plus un service, ou un produit, est rare et demandé, plus il sera valorisé.

Et l’offre conséquente.

A la lumière de cela, on comprend donc qu’il est important, pour ne pas dire nécessaire de travailler sur ces petits points différenciants.

En agissant ainsi, on augmente naturellement notre savoir-faire et visibilité auprès de notre entourage professionnel.

Parlons maintenant,

Des facteurs qui peuvent contribuer à l’accumulation et voir l’augmentation de ce capital professionnel

Donc des compétences telles qu’on vient de les définir

Tout d’abord, on ne peut pas être spécifique, compte tenu de la diversité de jobs qui existent.

On peut néanmoins, poser la question de manière générale et réfléchir sur le facteur clef qui peut contribuer à une augmentation du capital professionnel.

C’est assez simple.

On va introduire ici la notion d’état d’esprit du passionné versus l’état d’esprit de l’artisan.

Un état d’esprit passionné va chercher l’attention sur ce que le monde peut lui apporter.

Versus l’état d’esprit de l’artisan, qui cherchera lui, à contribuer et rendre le monde meilleur.

On en parlera dans d’autres articles.

Le facteur clef est ici :

Adoptez l’état d’esprit de l’artisan

En essayant d’améliorer l’existant.

Trouver des solutions.

En allant tout simplement de l’avant dans sa zone de compétence, on contribue naturellement (tout se fait naturellement) à aller explorer d’autres pistes.

Chercher d’autres choses et donc d’élargir sa zone de compétence.

In fine, on accroît son capital professionnel.

D’ailleurs, une bonne façon serait d’utiliser le Kaizen….


En synthèse, je voudrai conclure en résumant les 2 points

  • Adoptez l’état d’esprit de l’artisan.a
  • Aller toujours plus loin en sortant de sa zone de confort, pour se challenger.

En adoptant cette approche, on se met véritablement en capacité d’influencer notre parcours professionnel, par l’intermédiaire de notre capital professionnel.

Pour creuser le sujet, vous pouvez lire les 2 livres suivants, livres qui m’ont inspirés l’écriture de cet article :