L’indécision, ce démon intérieur : Plongée dans le premier chapitre de ‘Dans un monde presque parfait’

Le premier chapitre du livre « Dans un monde presque parfait » de Laurent Gounelle nous plonge dans l’univers de David, le personnage principal.

Dès les premières pages, l’auteur met en place des éléments clés pour la suite de l’histoire, notamment en introduisant le thème central du livre :

Le pouvoir de la décision (ou de l’indécision) et de son impact sur nos chemins de vie.

David fait une apparition rapide, et l’on apprend qu’il est incapable de faire des choix.

Cette incapacité le paralyse.

Mais il n’en ait que le miroir et à travers lui, on sait que cela pourrait être nous.

D’ailleurs, l’auteur Laurent GOUNELLE, souligne cette difficulté de ne pas savoir décider à travers une belle citation, que j’apprécie particulièrement :

« La vie est malicieuse et têtue.

Elle se charge d’éclairer vos ombres en semant inlassablement sur votre chemin les événements qui vous obligeront à apprivoiser vos démons.

Impossible de priver votre âme de ce qu’elle a besoin d’expérimenter ici-bas, sur terre. »

Cette citation me semble particulièrement pertinente et intéressante, en ce sens ou elle souligne que nous sommes tous sur un chemin de vie.

Qui dit chemin, dit que nous devons avancer.

Bon gré, mal gré les défis, c’est notre essence, c’est par nature qu’il faut essayer de progresser dans la vie.

D’autant plus que si l’on prend un peu de recul, on ne peut qu’être d’accord avec l’auteur, lorsqu’il dit que la vie est malicieuse.

La vie placera ou replacera sans cesse les défis que l’on aura pas affronté, sur notre chemin.

Pourquoi ?

Pour nous faire évoluer.

Nous faire grandir.

Cependant, à notre image, le protagoniste lui n’en ai pas conscient.

Qu’est-ce que cela veut dire ?

Ce choix à faire, qui aura des conséquences beaucoup plus large que sa seule personne, le plonge inévitablement dans un état de gravité, dure à dépasser à ce moment-là.

Vous pouvez retrouver l’ensemble des autres articles sur ce livre « Un monde presque parfait », ici

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